lundi 30 mars 2015

La Maison Delvaux

Fondée en 1829 à Bruxelles, la Maison Delvaux (www.delvaux.com) est la plus ancienne maison de maroquinerie de luxe au monde. Dans la famille de Charles Delvaux, on est fabricant de calèches de père en fils. Lui décide de produire des malles en bois de cerisier et cuir de qualité dans une Europe qui découvre l'industrie, les voyages d'affaires et le chemin de fer (rappelons que la première ligne de chemin de fer Bruxelles-Malines a été inaugurée en 1835). Peu à peu, le catalogue s'étoffe aux petits articles en cuir, et la Maison Delvaux devient, en 1883, fournisseur breveté de la Cour.


En 1933, la Franz Schwennicke rachète la société aux héritiers de Charles Delvaux et se consacre principalement aux luxueux sacs à main. Le plus célèbre est le "Brillant" créé pour l'Exposition Universelle de Bruxelles de 1958. Suite à son décès en 1970, c'est sa veuve Solange qui reprend l'entreprise et devient même un symbole de l'entrepreneuriat belge au féminin (ce qui lui vaudra d'être titrée baronne). En 2011, la famille Schwennicke s'associe à la famille Fung. La rencontre des deux assure la pérennité et le rayonnement mondial de Delvaux. Ainsi, en 2014, cinq nouvelles boutiques ont été créées à Hong Kong, Doha, Paris, Osaka et Tokyo.


Comme le confie un des responsables Marco Probst :  "Nous ne sommes pas fondamentalement une maison de mode. Notre ligne de conduite et nos créations visent un petit coin d'éternité. Un sac Delvaux se transmet souvent de génération en génération. Sa qualité et la part de mystère qui l'entoure lui confèrent ce côté intemporel. Mais une grande maison comme la nôtre se distingue également par tout ce qui tourne autour de la marque. Mon rôle est de la pérenniser tout en assurant son développement et son positionnement pour le futur. A ce titre, notre présence à l'international est fondamentale. C'est un aspect de notre société que nous devons encore travailler et sans cesse améliorer".  

vendredi 27 mars 2015

Nouvel album de la chanteuse belge Selah Sue

Il y a trois ans, je vous parlais déjà de la chanteuse belge Selah Sue (voir mon article http://journalpetitbelge.blogspot.com/2012/01/la-chanteuse-belge-selah-sue.html) que vous pouvez retrouver sur Youtube (www.youtube.com/watch?v=-IunmW3wI5Q). A l'occasion de la sortie de son deuxième album intitulé "Reason", elle a répondu aux questions des quotidiens du groupe Sud Presse :


"Selah, où avez-vous disparu pendant quatre ans?
- J'ai fait de la scène un peu partout dans le monde pendant plus de deux ans. Après, j'ai consacré six mois à l'écriture de ce deuxième album et j'ai ensuite dû attendre que les producteurs soient prêts. J'étais très impatiente et je suis retournée à Los Angeles, à Londres, en Jamaïque pour enregistrer et écrire d'autres chansons. J'ai hâte de reprendre la route ; çà me manquait.


- C'est en voyageant que vous trouvez votre inspiration?
- Non. Je puise mon inspiration en moi-même, dans mes émotions, dans mes hauts, dans mes bas. Je suis une véritable montagne russe quand il s'agit de sentiments.


- La musique ne vous a pas aidée à vaincre vos démons?
- Pour moi, la musique n'est pas un exutoire. Pour combattre ma dépression, je suis une thérapie, je prends des médicaments. Chez moi, la musique a juste l'effet d'amplifier mes émotions. Si j'écoute ou fais de la musique quand je suis triste, je serai encore plus triste. Quand j'avais 16 ans, çà m'a peut-être aidée. Ecrire m'aide en tout cas à placer mes émotions et à mieux comprendre ce que je ressens.


- Vos études de psychologie vous aident-elles aussi?
- J'ai réalisé en vieillissant que la psychologie ne s'apprend pas dans les livres. On apprend à mieux comprendre ce qu'on ressent en voyageant, en devenant adulte. Je n'ai pas étudié la psychologie parce que j'étais moi-même dépressive. Déjà toute petite, quand je n'étais pas encore tourmentée par des sentiments aussi forts que ceux que peuvent ressentir un adulte, je savais déjà que je voulais étudier la psychologie. Ca m'a toujours intéressée.


- Vous parlez énormément d'émotion et, paradoxalement, votre album s'appelle "Reason"?
- C'est vrai. La raison s'oppose à l'émotion pure et dure. Avec ce métier, j'ai été amenée à travailler avec des gens plus âgés que moi. Mon amoureux a deux filles de 9 et 12 ans, et j'ai dû apprendre à être là pour elles. L'attente de l'album a été très dure à supporter ; j'ai dû rester calme. En fait, depuis mon premier album, j'ai beaucoup grandi et j'ai dû faire appel à ma raison. Maintenant, je suis adulte. J'ai des responsabilités et je ne peux plus vivre en fonction de mes émotions.


- Soudainement, vous vous êtes mise à écrire sur l'amour?
- J'ai toujours cru que je n'écrirais jamais de chansons d'amour, que c'était trop cliché, que personne ne le faisait. Mais c'est parce que je n'avais jamais connu l'amour. J'ai passé des années à penser à moi, à mon bonheur. Et quand j'ai rencontré mon amoureux, mon homme, çà m'a submergée. Il est l'une des plus grandes parties de mon existence ; çà méritait bien une chanson!


- Sur l'album, vous chantez aussi avec le rappeur Childish Gambino. Où l'avez-vous rencontré?
- A Los Angeles. Je cherchais un rappeur et nous nous sommes croisés en studio car nous avons le même producteur. Ca a tout de suite collé. Je n'ose pas encore rapper. Je ne me sens pas encore à l'aise dans l'exercice et je veux pouvoir être à la hauteur des vrais rappeurs. J'ai encore beaucoup à apprendre mais je m'entraîne.


- On parlait aussi d'une collaboration avec Prince. Pourquoi çà ne s'est pas fait?
- On ne s'est plus recontactés par manque de temps mais çà pourrait se faire par la suite.


- Après l'énorme succès du premier album, on vous attend au tournant. Pas trop de pression?
- Non, car j'ai fait un album qui vient de mon cœur. Personne ne m'a poussée à faire des choses que je ne voulais pas faire. Je ne regrette rien même si je ne suis pas à 100% convaincue. Si les gens n'aiment pas l'album, c'est que c'était ma destinée. Et puis, je n'ai jamais pris conscience du succès qu'a rencontré mon premier album. Je sais que j'ai vendu un million d'exemplaires mais je ne le ressens pas.


- Qu'est-ce qui vous déplaît dans "Reason"?
- Je suis une perfectionniste. Je n'écoute pas mes chansons car je trouve toujours quelque chose à rectifier. La musique, ce n'est pas des maths. Il n'y a pas de solution à l'équation ; ce n'est jamais terminé".

mercredi 25 mars 2015

Montgolfière et objets tricolores

1° Financez un ballon aux couleurs de la Belgique !
Patronné par la Fédération Royale d'Aérostation de Belgique, ce projet s'adresse à tous ceux qui rêvent d'un vol en ballon pour eux-mêmes ou pour d'autres ou/et qui désirent exprimer leur attachement à la Belgique. Vous pouvez soutenir financièrement l'asbl Belgian Balloon Club dans son projet de construire une nouvelle montgolfière tricolore. Différents packages vous sont proposés en fonction de votre participation :  du simple parrainage à la possibilité d'effectuer un vol en ballon ou d'associer votre entreprise à cette belle aventure, les options sont nombreuses. Pour plus d'infos :  www.belgianballoonclub.be


2° Vente d'objets tricolores noir-jaune-rouge
Si vous souhaitez acheter des pin's, autocollants, drapeaux, foulards et parapluies tricolores, il vous suffit de vous connecter sur le site de l'asbl Pro Belgica qui a une boutique de vente par Internet :  http://probelgica.be/p/WINKEL/winkel.html . Ils tiennent également chaque année un stand le 21 juillet dans la rue de la Régence à Bruxelles.

lundi 23 mars 2015

L'Orchestre Royal de Chambre de Wallonie

Sa création remonte à 1958 :  Lola Bobesco crée "Les Solistes de Bruxelles", renommé ensuite "Ensemble d'archets Eugène Ysaye" et actuellement "Orchestre Royal de Chambre de Wallonie" (ORCW). Présent sur de nombreuses scènes internationales, l'orchestre a collaboré régulièrement avec de grands artistes comme José Van Dam, Mtislav Rostropovitch, Arthur Grumiaux, Gautier Capuçon, Michel Beroff, etc.


De 2009 à 2013, il a bénéficié de la renommée du directeur musical et chef principal Augustin Dumay. Sous sa direction, l'orchestre s'est produit notamment à Menton, Pékin, Bucarest, Lyon, Toulouse. Depuis 2014, Frank Braley lui a succédé au poste de directeur musical. Sous sa direction, l'ORCW a été invité au château de Versailles et au théâtre du Châtelet à Paris où il a participé à la création de "Constrastes" de Richard Galliano.


En Belgique, l'ORCW est un complice régulier du Concours Musical International Reine Elisabeth, de la Chapelle Musicale Reine Elisabeth, du palais des Beaux-Arts de Bruxelles, du centre Flagey, du festival de Wallonie, du festival des Flandres, de plusieurs festivals de musique (Eté Mosan, Printemps Musical de Silly, Nuit Musicale de Beloeil, p.ex.), de villes et centres culturels.


A Mons, sa ville de résidence, l'ORCW produit un cycle de musique de chambre "Mons et Merveilles", des concerts au Théâtre Royal de Mons, et des concerts de compagnonnage intitulés "Graines de solistes". L'ORCW participe, évidemment, à la programmation de Mons, capitale culturelle européenne 2015. Notons deux de leurs activités destinées au grand public :  un concert gratuit du chanteur belge Salvatore Adamo le 19 septembre sur la Grand-Place de Mons, et les 40 ans du groupe rock belge Machiavel le 28 novembre au théâtre royal de Mons.


Plus d'infos sur leur programmation :   www.orcw.be

jeudi 19 mars 2015

Un avion aux couleurs de Tintin

                 


La compagnie aérienne Brussels Airlines et la société Moulinsart (héritiers d'Hergé) ont présenté, ce lundi, un avion aux couleurs de Tintin. L'A320 a reçu un habillage présentant le célèbre reporter belge aux commandes du sous-marin requin inventé par le professeur Tournesol et piloté dans l'album "Le Trésor de Rackham le Rouge". C'est la première fois que l'œuvre d'Hergé est présente sur un fuselage d'avion. Prévu pour voler sur le réseau européen, l'appareil d'une longueur de 37 mètres conservera son design de Tintin pendant quatre ans. Ses deux premières destinations seront Toulouse et Madrid.

lundi 16 mars 2015

Le Musée Duesberg à Mons

Aménagé dans un bâtiment classé de la fin du XIXème siècle dans le centre de Mons (capitale culturelle européenne en 2015), le Musée Duesberg est incontestablement un des plus beaux en Belgique. Il dispose de deux étoiles au guide Michelin qui lui en accorde également deux pour sa collection de pendules. Les Salons Baron et Baronne François Duesberg du musée du Grand Curtius à Liège, accueillant d'autres pièces de la collection, sont eux aussi classés deux étoiles. Avec six étoiles au total, c'est dire si la collection privée des époux Duesberg (anoblis par le roi Albert II) est exceptionnelle!


Témoin privilégié depuis 20 ans de l'œuvre de François Duesberg et son épouse, le musée est l'aboutissement d'une collection privée sublimée avec amour au cours d'une longue vie de collectionneurs méticuleux et passionnés sur l'art néo-classique de la période 1775-1825. Sa prestigieuse collection de pendules à sujets exotiques (1795-1815) est l'une des plus importantes au monde et rassemble des pièces d'exception dont la superbe pendule Paul et Virginie (œuvre du bronzier Thomire qui aurait été commandée en 1802 par Bonaparte en personne). Le musée comprend également une remarquable collection de porcelaines réalisées par les meilleures manufactures parisiennes et bruxelloises, ainsi que des orfèvreries somptueuses, d'exceptionnels bronzes dorés français, des bijoux anciens (dont un ensemble de superbes camées) ainsi qu'une multitude de rarissimes objets de haute curiosité sur l'art néo-classique et l'art de vivre sous le Premier Empire. Plus d'infos et de photos :  www.duesberg.mons.be


Ne traînez pas à visiter ce musée car son avenir est malheureusement incertain... Les époux Duesberg étant âgés et sans descendance d'une part, et leurs relations difficiles avec la Ville de Mons d'autre part, il est possible que leurs collections partent bientôt à l'étranger ou soient dispersées en vente publique... Si c'est le cas, ce serait un vrai gâchis de la part d'une ville qui est cette année capitale culturelle européenne.

mercredi 11 mars 2015

Trois médailles en athlétisme pour la Belgique

Ce week-end, les championnats d'Europe d'athlétisme en salle se tenaient à Prague. Notre pays y a décroché trois médailles (une d'or et deux d'argent). C'est d'abord Nafi Thiam qui a remporté la médaille d'argent au pentathlon avec 4.696 points. Puis, nouvelle médaille d'argent pour la Belgique grâce à Dylan Borlée dans le 400m. Et enfin, le relais masculin 4x400m (composé de Julien Watrin, Dylan Borlée, Jonathan Borlée et Kévin Borlée) devenait champion d'Europe et établissait un nouveau record d'Europe. Prochaine étape pour le relais : début mai aux Bahamas où ils tenteront de se qualifier pour les prochains jeux olympiques. Ajoutons qu'en tennis, la Belgique a battu ce week-end la Suisse (3-2) et s'est qualifiée pour les quarts de finale de la Coupe Davis. Bravo les Belges!

dimanche 8 mars 2015

Nouvel Album du chanteur belge Ozark Henry

A l'occasion de la sortie de son nouvel album (pour lequel il a travaillé avec les 90 musiciens de l'Orchestre National de Belgique), le chanteur Ozark Henry a répondu aux questions du journal "La Dernière Heure" :


"D'où est venu ce projet? De l'envie d'entendre vos chansons sonner autrement?
- Non, j'ai juste été invité par l'Orchestre National de Belgique! Ca m'intéressait parce que pour moi, une chanson, c'est juste une vie. Et dans un autre ton, c'en est une autre. Redécouvrir une histoire qu'on a écrite, dans un autre contexte, c'est passionnant. Tout n'est pas transposable mais comme je comprends bien les possibilités d'un orchestre, je leur ai proposé que ce qui était possible.


- Avoir grandi dans la musique avec un papa compositeur, vous a rendu plus conscient de cela?
- Oui, je pense. La musique, c'est comme une langue. Il faut la comprendre pour communiquer, pour être sûr de ne pas être mal compris.


- Vous avez imaginé une atmosphère pour chaque morceau ou quelque chose de global pour l'album? - Les deux! Chaque morceau raconte une histoire, mais les titres entre eux forment un tout. Mais c'est vrai pour tous les albums, à des niveaux différents. Même si ta tête ne peut pas expliquer pourquoi ou comment.


- Après avoir vécu une expérience comme celle-là, refaire un album "normal", çà ne va pas vous sembler bizarre? Comme retrouver une 2CV après avoir conduit une Ferrari pendant deux semaines? - Non. C'est une expérience qui fait que, comme artiste, on ressort vraiment plus riche. La comparaison est plus intéressante si on te dit que tu as eu la chance de conduire une voiture dont il n'existe que 20 exemplaires dans le monde. Après, tu retournes à la voiture la plus basique. Mais c'est intéressant : tu peux amener une expérience à cette voiture que tout le monde a. Pour la technologie, c'est la même chose : si je travaille autant là-dessus, c'est parce que je veux mettre le plus dans la position idéale pour écouter de la musique.


- A ce sujet, vous pouvez nous expliquer le son 9.1 ?
- C'est une technologie qui est pionnière, vraiment toute nouvelle. Mais je suis persuadé que dans quelques années, cela va être la norme et je vais être content de savoir déjà l'utiliser. Si j'étais convaincu que c'était réservé à une élite, je n'aurais pas fait l'effort. La musique est quelque chose qui se partage avec le plus grand nombre. C'est çà qui en fait sa richesse et son côté unique".


Pour écouter Ozark Henry :    www.youtube.com/user/ozarkhenrychannel

jeudi 5 mars 2015

Hommages au roi Albert Ier en février

A Laeken :  http://probelgicahainaut.blogspot.be/2015/02/pro-belgica-lhommage-aux-defunts-de-la.html


A Jette, Ixelles et Uccle :  http://probelgicahainaut.blogspot.be/2015/02/hommages-au-roi-albert-ier-jette-et.html


A Namur :   http://probelgicanamur.blogspot.be/2015/02/pro-belgica-lhommage-au-roi-albert-ier.html


A Marche-les-Dames :  http://probelgicanamur.blogspot.be/2015/02/hommage-au-roi-albert-ier-marche-les.html


A Wartet :  http://probelgicanamur.blogspot.be/2015/02/hommage-au-roi-albert-ier-wartet.html


A Charleroi :  http://probelgicahainaut.blogspot.be/2015/03/hommage-au-roi-albert-ier-charleroi.html


A Tournai :  http://probelgicahainaut.blogspot.be/2015/03/hommage-au-roi-albert-ier-tournai.html


A Ham-sur-Heure :  http://probelgicahainaut.blogspot.be/2015/02/hommage-albert-ier-dans-la-commune-dham.html


A Comines :  http://probelgicahainaut.blogspot.be/2015/02/hommage-au-roi-albert-ier-comines.html


A Courcelles :  http://probelgicahainaut.blogspot.be/2015/02/hommage-au-roi-albert-ier-courcelles.html


A Mons :  http://probelgicahainaut.blogspot.be/2015/02/hommage-au-roi-albert-ier-mons.html


A Momignies et Chimay :  http://probelgicahainaut.blogspot.be/2015/02/hommages-au-roi-albert-ier-dans-la.html


A Jumet :  http://probelgicahainaut.blogspot.be/2015/02/hommage-au-roi-albert-ier-jumet.html


Si vous voulez soutenir le travail des bénévoles de l'asbl Pro Belgica, vous pouvez faire membre (cotisation 2015 :  15 euros) via leur site Internet national et bilingue :   http://probelgica.be/probelgica/devenir-membre

dimanche 1 mars 2015

Les 20 ans de la province du Brabant wallon

Après vous avoir parlé il y a peu des 20 ans du Brabant flamand, place maintenant à la province du Brabant wallon qui existe, elle aussi, depuis le 1er janvier 1995. Elle se trouve au centre du pays et est une province très prospère, connaissant un des taux de chômage le plus bas de Belgique. Son chef-lieu est Wavre. En 2015, la province du Brabant wallon verra arriver de nombreux touristes à l'occasion du bicentenaire de la bataille de Waterloo ; on aura l'occasion d'en reparler.


Je vous propose de (re)découvrir mon article sur cette province :  http://journalpetitbelge.blogspot.be/2012/05/on-termine-notre-tour-des-10-provinces.html