La première raison est le plaisir d'écrire que j'ai depuis mon enfance et que j'ai de moins en moins l'occasion de pratiquer. Envoyer une lettre à quelqu'un paraît aujourd'hui bien ringard à l'heure des SMS et des mails...
Il y a ensuite le plaisir - et peut-être le besoin - de communiquer avec les autres, d'échanger des idées ou des conseils, de partager ses connaissances. Rencontrer des personnes de régions, d'âges, de professions, de couches sociales et de profils très différents est pour moi l'un des grands avantages des blogs. Cela enrichit la Vie.
J'ai des idées très précises sur l'orientation de mon blog. Ma discrétion et ma modestie ne supporteraient pas de voir ma vie ou des photos de mes proches étalées sur la place publique. Vous ne saurez donc rien de personnel sur moi, si ce n'est que je suis bien dans ma peau et dans mes baskets! En choisissant comme titre "Journal d'un petit Belge", j'ai voulu que mon blog soit très noir-jaune-rouge. Oui, j'aime mon pays, berceau de tant de personnalités intéressantes (Magritte, Delvaux, Simenon, Hergé, Solvay, Folon et la liste pourrait être très longue). De quoi vais-je parler? De l'actualité de la Belgique dans les domaines politique, économique, sportif, social et culturel. J'ai très envie de mieux faire connaître nos écrivains et nos artistes qui ne sont pas assez mis en valeur par les médias. Enfin, si ce blog pouvait devenir un terrain de rencontre et d'échange entre Flamands, Wallons et Bruxellois, j'en serais très heureux.
Je vous souhaite de joyeuses fêtes de fin d'année et une heureuse année 2007.
jeudi 28 décembre 2006
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1 commentaire:
Est-ce que ton but qui était de rencontrer des gens de toutes les couches sociales a été atteint ?
Personnellement, lorsque j'ai fait mes premiers pas sur Internet, j'avais ce même idéalisme. C'est clair que c'est un outil qui permet de supprimer la notion de distance. Au lieu d'être entouré au petit entourage que nous connaissons, appartenant à un certain étage d'un classe sociale plus ou moins définie, on pourrait avoir des relations dans les trois dimensions, uniquement limitées par le nombre de personnes. En fait, la navigation ne se fait pas d'un étage à l'autre. Et même plus, elle ne se fait que sur notre étage, dans notre classe sociale, dans notre culture, puisque si les gens qui nous entourent intimement ne nous plaisent pas, on n'est pas obligé d'aller au balcon pour parler à l'étage du dessus ou celui du dessous : on a la possibilité de chercher une personne très semblable, beaucoup plus loin sur le même étage.
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