mercredi 28 mai 2014

Bon anniversaire à la doyenne des Belges (112 ans) !

                              


Bon anniversaire à Fanny Godin, la doyenne des Belges, qui fête ses 112 ans! D'après les statistiques, c'est la deuxième Belge à passer le cap des 112 ans, et elle n'est pas loin du record national (112 ans et 186 jours). Née à Huy en 1902, elle se marie tardivement avec Jacques Pardon en 1941. Ils attendent la fin de la deuxième guerre mondiale pour avoir leur fille unique Claude, âgée aujourd'hui de 69 ans et sans descendance. Veuve en 1976, elle habite seule son appartement bruxellois jusqu'à ses 106 ans. Fanny entre ensuite dans une maison de retraite à Léau en province du Brabant flamand pour être plus proche de sa fille. Et ce qui fait plaisir, c'est qu'elle est en bonne santé et refuse catégoriquement une chaise roulante, préférant sa canne ou le bras de quelqu'un pour se déplacer! Elle lit son journal chaque jour sans lunettes, et participe une fois par semaine à des jeux de ballons pour seniors. Elle a pratiqué la natation...jusqu'à ses 110 ans. Lors de la fête organisée hier en son honneur, Fanny a trinqué avec sa fille et les autres résidents de la maison de retraite, et a confié qu'elle avait eu une belle vie. Bon anniversaire Madame!

samedi 24 mai 2014

La ville d'Hasselt

La ville d'Hasselt a été fondée au VIIème siècle et appartenait au comté de Looz. Au 14ème siècle, celui-ci est intégré à la principauté de Liège jusqu'à l'annexion par la France en 1794. Après la défaite de Napoléon en 1815, elle rejoint le royaume des Pays-Bas qui réunissait l'actuel Benelux (Belgique, Pays-Bas et grand-duché de Luxembourg) sous la houlette de Guillaume d'Orange. En 1830, suite à la révolution belge, notre pays devient enfin indépendant. Après neuf années de négociations, un traité entre la Belgique et les Pays-Bas en 1839 partage la province du Limbourg en deux :  une partie belge et une partie néerlandaise. Hasselt devient le chef-lieu de la province belge du Limbourg.


Aujourd'hui, les touristes viennent découvrir à Hasselt :


- Plopsa Indoor (300.000 visiteurs/an en moyenne). A ma connaissance, c'est le seul parc indoor du pays ouvert toute l'année. Comme Plopsaland et Plopsacoo, il appartient au groupe Studio 100 dont je vous ai déjà parlé :  http://journalpetitbelge.blogspot.be/2011/05/le-studio-100.html


- le jardin japonais. Inauguré en 1992, il est le fruit des liens d'amitié entre les villes d'Hasselt et d'Itami au Japon. Sa superficie totale est de 2,5 ha. Il est en fait le prolongement du parc Kapermolen qui fait près de 15 ha. Le jardin japonais compte 250 cerisiers du Japon et une maison de cérémonie et de thé. Ouvert d'avril à octobre. Partons-nous y promener avec notre amie Tania :  http://textespretextes.blogs.lalibre.be/archive/2014/05/09/au-jardin-japonais-1129961.html

mardi 20 mai 2014

"Le général van Halen et la révolution belge de 1830" (Anne-Marie Storrer)

Né en 1788 en Espagne, don Juan van Halen descend d'une famille patricienne originaire de Weert au Limbourg. De génération en génération, ses ancêtres étaient notaires, avocats ou juges de paix, ainsi que bourgmestres de Weert. Son grand-père Joannes Antonius s'installe en Espagne. Juan van Halen entre dans la marine royale espagnole dont il gravit rapidement tous les échelons : il est nommé sous-lieutenant de frégate en 1806 et participe notamment à la bataille de Trafalgar et à la guerre du Caucase. Il parle l'espagnol, l'anglais et le français.


Ayant pris part aux côtés des révoltés aux guerres civiles qui déchirent l'Espagne, Juan van Halen part en exil en attendant qu'on le rappelle dans sa patrie. Après avoir voyagé aux Etats-Unis et au Mexique, il décide en 1826 de retourner avec son épouse et leurs deux fils dans le berceau de ses ancêtres. La famille habite d'abord Chaudfontaine, où Juan van Halen entreprend d'écrire ses mémoires et de raconter les batailles auxquelles il a participé. C'est là qu'il devient ami avec le jeune avocat et journaliste liégeois Charles Rogier.


En 1829, Juan van Halen s'installe à Bruxelles où des émeutes éclatent en août 1830 suite à la représentation de "La Muette de Portici" au Théâtre Royal de la Monnaie. Devant l'inertie des autorités, des bourgeois bruxellois créent une garde bourgeoise dont il fait partie. Le roi Guillaume d'Orange reste sourd aux revendications des Belges, et les troubles se poursuivent. Charles Rogier arrive de Liège avec plus de 300 volontaires. Le 24 septembre, Juan van Halen (42 ans) est nommé commandant en chef des forces actives de la Belgique, et c'est donc lui qui dirige les volontaires belges lors des combats autour du parc royal et de la place Royale contre les soldats de l'armée néerlandaise. La tâche n'est pas aisée, comme il l'écrit le 25 septembre :


"Le caractère particulier des combattants qui composaient notre armée de citoyens, joint aux habitudes d'insubordination qu'ils avaient contractées lors des journées précédentes, en avaient fait autant de généraux que de soldats. Avec le jour cessa le feu et la sécurité de la ville fut à nouveau abandonnée à la garde d'une centaine de braves exténués de fatigue et je n'avais en mon pouvoir aucun moyen pour l'éviter. Dès le soir, j'avais placé des postes aux principaux points qu'il importait de conserver, avec ordre de ne laisser partir aucun volontaire ; et c'est dans la force de leurs habitudes que postes et volontaires quittèrent le champ de bataille pour aller remplir les tavernes où ils se racontaient leurs exploits".


Le lendemain, il écrit :   "Toutes ces opérations exécutées à la vue d'une armée considérable, occupant la position militaire la plus avantageuse, eurent lieu avec plus de précisions et d'hommes que l'on pouvait en attendre de simples volontaires, pleins d'ardeurs à la vérité, mais sans discipline et n'ayant parmi eux que quelques anciens militaires".


Dans la nuit du 26 au 27, les troupes hollandaises quittent le parc royal. Juan van Halen fait annoncer la victoire au gouvernement provisoire installé à l'hôtel de ville de Bruxelles. Son expérience militaire aura été très utile. Au cours des combats de fin septembre,  456 citoyens belges sont décédés, 1226 blessés et 122 prisonniers.


Après l'indépendance de la Belgique, le gouvernement provisoire le nomme lieutenant général. En 1835, Léopold Ier l'autorise à rentrer en Espagne où il reprend rang dans l'armée. Il sera ensuite capitaine général de la Catalogne (de 1840 à 1842) et président du tribunal de guerre de la marine (de 1854 à 1856). Juan van Halen revient cependant régulièrement en Belgique où il est reçu par le roi Léopold Ier. Il décède à Cadix en 1864.


Près d'un siècle et demi plus tard, un membre de sa famille, l'avocate bruxelloise Anne-Marie Storrer, décide de lui rendre hommage et d'écrire sa biographie en 2005 à l'occasion des 175 ans de l'indépendance de la Belgique.


Plus d'infos sur la révolution belge : http://journalpetitbelge.blogspot.be/2012/09/182eme-anniversaire-de-la-revolution.html


Plus d'infos sur Louis de Potter, autre acteur de 1830 :  http://journalpetitbelge.blogspot.be/2012/03/louis-de-potter-revolutionnaire-belge.html

vendredi 16 mai 2014

Les Chokotoff

Dans le livre "Inventaire des petits plaisirs belges" de Philippe Genion dont je vous ai déjà parlé, un chapitre est consacré aux Chokotoff. En voici un extrait :


"Il y a des plats qui définissent la Belgique :  le waterzooi, le moules-frites, les carbonnades. Il y a aussi des produits emblématiques de notre pays :  le chicon, la frite, puis la gaufre, le speculoos et enfin, l'incontournable, le magistral Chokotoff. Créé par la célèbre marque de chocolats "bien belges" Côte d'Or, dont l'usine parallèle à la gare du Midi, embaumait tout le quartier d'odeurs orgasmiques de cacao, enivrant dans "mes" années septante et quatre-vingt les postpunks et autres fans de new wave se rendant à pied de la gare au mythique Plan K pour y voir Echo and Nico, Soft Verdict (oui, que des légendes, humf) ou encore lancer des tomates sur le pauvre Georges Lang. Marque à l'emblème pachydermique bien colonial, Côte d'Or a introduit le Chokotoff sur le marché en 1934. Il ne s'agit pas d'une praline, mais plutôt d'un bonbon, et plus précisément d'un caramel :  un cœur de caramel aromatisé au chocolat noir, dur (mais pas trop), de forme parallélépipédique de 30mmm x 15mm x 15mm, enrobé d'une sorte de croûte de chocolat noir. Le nom provient en fait d'une contraction des mots "chocolat" et "toffee". Certains prétendent que son inventeur aurait aussi voulu faire un jeu de mots avec "tof" qui signifie super, très bon ou excellent en brusseleir. On ne le saura jamais, mais ce que l'on sait, c'est que c'est bon. Et tof. Dès qu'on le met en bouche, le chocolat noir fond et le caramel ramollit. A ce moment, il est très important de conserver le contrôle de ses mâchoires. En effet, l'effet du chocolat fondant sur les papilles gustatives peut provoquer un réflexe maxillatoire immédiat qui peut conduire au pire :  l'accident de Chokotoff!".  La suite dans le livre "Inventaire des petits plaisirs belges" de Philippe Genion...

lundi 12 mai 2014

Nouveau film de Lucas Belvaux et Emilie Dequenne

"Pas son genre" est le nouveau film du réalisateur belge Lucas Belvaux qui a choisi l'actrice belge Emilie Dequenne pour le rôle principal. Cette comédie raconte l'histoire d'amour entre un professeur de philo parisien et une coiffeuse d'Arras que tout oppose. Ils ont répondu aux questions du journal "La Dernière Heure" :


Lucas Belvaux
"Les différences apparemment inconciliables, c'est un grand classique de la comédie?
- C'est le point de départ du livre que j'ai adapté. Le problème entre eux n'est pas tant social que culturel. Qu'est-ce qu'on lit, qu'est-ce qu'on écoute, de quoi on parle? Cela rend leur amour sans avenir. Et cela amène à se poser la question :  est-ce que j'aurais pu passer à côté de l'amour de ma vie pour des raisons culturelles? Est-ce qu'on peut être à ce point méprisant? Lui s'ennuie un peu partout, mais elle a quelque chose de tellement vivant, joyeux, qu'il se sent bien avec elle.


- Vous donnez les clefs dès le départ :  il est admiré pour ses textes sur l'amour mais ne sait pas aimer?
- Il le fallait pour le suspense :  va-t-il pouvoir enfin aimer? Jennifer le sent d'ailleurs dès le départ que leur amour est en danger : elle se donne énormément de mal pour lui. Elle lit Kant, les grands romans, elle fait des efforts pour attraper le bonheur dès qu'il passe. Mère célibataire de 35 ans, coiffeuse à Arras, elle sait qu'il lui reste peu de temps pour trouver l'homme de sa vie. Alors qu'un intellectuel parisien de 40 ans est encore en pleine ascension. Elle espère que c'est son prince charmant, même si elle craint que ce ne soit pas le cas.


- Vous n'avez jamais filmé un personnage aussi optimiste que Jennifer. Pourquoi maintenant?
- Elle veut être heureuse. Le bonheur ne va pas de soi, il faut le construire, le prendre quand il passe, ne pas s'accrocher à ce qui n'est plus. Elle est dans la vie. Sur le même thème, on aurait pu construire un film noir. Ce n'est pas une franche comédie mais c'est assez léger. Sur le fond, c'est très dur et c'est pour çà qu'on est ému. "La garçonnière" de Billy Wilder, un de mes films de référence, est très dur et noir sur les rapports hommes-femmes, mais c'est une comédie. Même chose pour "Breakfast at Tiffany's". C'est d'un désespoir absolu et pourtant très drôle. La comédie, j'aime çà. J'avais envie d'y revenir. Et je ne vois pas quelle actrice pourrait être aussi lumineuse qu'Emilie dans ce film. Elle est un peu comme Jennifer : elle prend plaisir à chanter, danser, jouer la comédie. Elle est magnifique. C'est une grande actrice mais elle n'est jamais dans un délire de star. Cela se voit dans ses choix de film et sa manière de travailler. On a l'impression qu'elle a 50 ans de métier".


Emilie Dequenne
"Le thème de la différence a déjà été traité souvent au cinéma mais pas sous cet angle-là?
- Elle est riche comme tout, cette fille, mais sa richesse se trouve ailleurs. Elle n'a pas la même culture que lui (la philosophie n'est quand même pas à la portée de tout le monde) mais elle a la sienne. Elle lit malgré tout. Le plus important dans la vie n'est pas la culture mais la curiosité. Et elle est extrêmement curieuse, et peut-être plus que lui. Lui est curieux dans son monde mais elle a un monde plus vaste que le sien. Elle est née dans un autre milieu mais jamais elle ne se plaint, elle est heureuse tout le temps. Son optimiste est sans faille, elle est pimpante, j'ai adoré ce personnage.


- Vous êtes aussi optimiste que Jennifer?
- Cela peut mettre la petite larme à l'œil mais c'est un film très positif : Jennifer est totalement libre, elle s'en fiche de la classe, du niveau social. Pour elle, il n'y a pas de différence. Elle est vraiment dans la vie. Cette femme est une leçon d'optimisme. Cela fait du bien. D'ailleurs, quand j'ai lu le scénario, je me suis dit : il ne faut pas te louper, cette fille, tout le monde doit l'aimer. C'est the girl next door comme joue Jennifer Aniston. Pour moi, c'est çà faire du cinéma intelligent : tout le monde va s'y retrouver dans ce film axé sur le sentiment amoureux.


- Qu'est-ce qui différencie la beauté du charme?
- Pour çà, je suis très kantienne, moi aussi. Il existe des beautés absolues que tout le monde reconnaît, et d'autres qui plairont juste à certains. Après, il y en aura toujours qui la ramèneront en disant que Naomi Campbell n'est pas à leur goût, mais pour moi, elle est universellement belle et c'est comme çà. Certaines actrices font l'unanimité aussi. Alors que moi, Emilie, je sais que je peux parfois être très belle et à d'autres moments pas, que je plairai à certains et pas à d'autres. Même si je n'accorde pas tellement d'importance à mon image. L'important, c'est de me sentir bien. L'aspect physique, çà va mieux : l'adolescence est loin maintenant. Je suis comme je suis et puis voilà... Qu'on soit Naomi Campbell ou Kate Moss, on aura tous à un moment donné le visage déformé par la douleur, on a tous des instants de vie durant lesquels on peut être sublimes et d'autres où on ne l'est pas".

jeudi 8 mai 2014

8 mai 1945 - 8 mai 2014

Le 1er septembre 1939, l'armée d'Hitler envahit la Pologne. La France et la Grande-Bretagne déclarent la guerre à l'Allemagne. C'est le début de la deuxième guerre mondiale. Notre pays reste neutre et espère que son territoire sera respecté. L'armée belge se place le long des frontières et attend dans l'angoisse...


L'Allemagne envahit la Belgique le 10 mai 1940. Les bombardements poussent les Belges à fuir à pied vers la côte. Malgré l'aide de la Grande-Bretagne et de la France, notre petite armée n'arrive pas à résister aux Allemands... Afin d'épargner la vie de nos soldats, le roi Léopold III (commandant en chef de l'armée belge) décide de mettre fin au combat et annonce la capitulation de la Belgique le 28 mai 1940. C'est la fin de la "Campagne des 18 jours". Notre pays est donc occupé par les Allemands. Le grand-duché de Luxembourg, les Pays-Bas et bientôt la France connaissent le même sort. Les habitants de ces pays auront faim pendant quatre ans, car la plupart des récoltes étaient destinées aux soldats allemands. Des tickets de rationnement sont nécessaires pour avoir un peu de nourriture. Tout le monde vivait dans la peur des bombardements qui détruisent parfois des quartiers entiers des villes.


A la fin de 1940, l'Italie entre en guerre aux côtés de l'Allemagne. Les victoires allemandes et italiennes sont nombreuses :  après la France, la Grèce, la Bulgarie et la Yougoslavie sont, elles aussi, vaincues et envahies. Par contre, la Russie se joint aux alliés. La deuxième guerre mondiale oppose donc deux blocs : les envahisseurs (Allemagne, Italie et Japon) et les Alliés (Etats-Unis, Grande-Bretagne et Russie).


Le 6 juin 1944, les troupes anglo-américaines débarquent sur les plages de Normandie et commencent à libérer certaines régions françaises. Elles sont aidées par la brigade Piron, une unité de soldats belges et luxembourgeois qui libère notamment Deauville et Trouville. De leur côté, les Russes remportent leurs premières victoires à l'est de l'Allemagne. La Belgique est libérée en septembre 1944 par les Américains et les Britanniques.


Mais la guerre n'est pas encore finie : les Allemands reviennent en décembre 1944 pour la Bataille des Ardennes, au cours de laquelle de nombreux civils belges sont tués. La deuxième guerre mondiale se termine le 8 mai 1945 après avoir causé la mort d'environ 70 millions de personnes. N'oublions jamais leur sacrifice pour notre liberté.

mardi 6 mai 2014

L'humour au-dessus de la frontière linguistique

Née en 1965, Els de Schepper est une humoriste belge néerlandophone. Elle fait partie de ce qu'on appelle les Bekende Vlamingen (Flamands célèbres) et vient de remplir récemment les 8.000 places du Sportpaleis à Anvers. Suivant l'exemple de Bert Kruismans, elle a décidé de se produire au sud du pays en français. Et démontrant que l'humour peut dépasser la frontière linguistique, elle a fait un sketch sur les clichés entre Flamands et Wallons avec l'humoriste belge francophone Alex Vizorek, lui aussi bilingue :   www.youtube.com/watch?v=KefA2M9r42s

lundi 5 mai 2014

Jérémy Charlier, tête de liste BUB pour le Parlement Bruxellois

                                            Photo : Chers amis,

D'ici peu, les temps d'attente interminables aux nombreux feux rouges de la capitale vous sembleront... trop courts!! Pourquoi!? Car vous pourrez admirer cette affiche aux vitrines des commerces...  ;-)             


Dernier article sur les élections. Après vous avoir présenté les candidats BUB en Brabant wallon et en Flandre orientale, attardons-nous aujourd'hui sur Jérémy Charlier, tête de liste du parti centriste et bilingue BUB pour le parlement régional bruxellois. Né en 1983, il habite à Saint-Gilles et a répondu aux questions de RTL-TVI dans cette vidéo :  www.rtl.be/videos/video/486396.aspx?CategoryID=4665 . Par ailleurs, pour découvrir les candidats du BUB dans les autres provinces, cliquez sur ce lien :   www.unionbelge.be/?p=8634 (car ils sont beaucoup moins médiatisés que les candidats des partis traditionnels).    Et en cliquant ci-dessous sur "BUB", vous retrouverez mes autres articles sur ce parti.

dimanche 4 mai 2014

La liste BUB en Flandre orientale

                               


Après vous avoir présenté hier la liste BUB du Brabant wallon, voici les candidats BUB  qui se présentent pour la Chambre dans la province de Flandre orientale. Parmi ceux-ci, je soutiens tout particulièrement Kathleen Kerckvoorde, bien connue du mouvement pro-belge (elle est membre notamment de la Belgische Alliantie, de Pro Belgica et du BUB). Née en 1955, parfaite bilingue, elle habite la région de Gand. Cela fait plusieurs années que Kathleen est présente avec ses drapeaux belges à l'arrivée de courses cyclistes en Flandre, ou à des activités officielles de la famille royale à Bruxelles (à la sortie du Te Deum du 21 juillet, p.ex.). La présence de cette grande patriote sur une liste d'un parti national et bilingue défendant l'unité du pays n'a donc rien d'étonnant. Vous pouvez la contacter via Facebook :  www.facebook.com/Kathje

samedi 3 mai 2014

La liste BUB en Brabant wallon

                            


En Belgique, il ne reste plus que deux partis politiques nationaux et bilingues :   le PTB à gauche et le BUB au centre (à ma connaissance, il n'y en a plus à droite).  Le BUB défend l'unité du pays, et souhaite le retour à une Belgique unitaire et à un seul Brabant, et plus de bilinguisme dans l'enseignement. Il prône la suppression des régions et communautés, dont les compétences seraient reprises par les provinces. L'argent économisé par la suppression des parlements et gouvernements régionaux et communautaires, serait investi dans le domaine socio-économique. Plus d'infos sur leur programme :   www.unionbelge.be .


Aux élections législatives du 25 mai 2014, le BUB présente une liste pour le parlement régional bruxellois, et dans chaque province pour la Chambre (c'est-à-dire les deux seuls parlements bilingues du pays). Voici ci-dessus l'équipe qui se présente pour la province du Brabant wallon, dont en deuxième position la sympathique Bénédicte Wintquin qui avait répondu à mes questions il y a quelques mois :   http://journalpetitbelge.blogspot.be/2013/09/interview-de-benedicte-wintquin-bub_22.html .

jeudi 1 mai 2014

Horaire 2014 des pêcheurs à crevettes d'Ostduinkerke

La pêche de crevettes à cheval existe le long de la Mer du Nord depuis le 15ème siècle. En 2013, elle a été inscrite sur la liste du patrimoine immatériel de l'Unesco. Cette tradition est encore pratiquée aujourd'hui à marée basse sur la plage d'Ostduinkerke, au grand plaisir des touristes (plus d'infos :  http://paardenvissers-fotolemineur.blogspot.be). Il existe aussi un musée de la pêche dans cette station balnéaire de la côte belge. Si vous voulez voir les pêcheurs de crevettes à cheval, rendez-vous sur la plage d'Ostduinkerke le 16 juin à 9h30, le 17 juin à 10h30, le 20 juin à 13h, le 23 juin à 16h30, le 28 juin à 8h, le 1er juillet à 9h30, le 3 juillet à 10h45, le 7 juillet à 14h30, le 9 juillet à 16h45, le 15 juillet à 9h15, le 16 juillet à 10h, le 18 juillet à 11h30, le 22 juillet à 16h30, le 24 juillet à 18h, le 28 juillet à 8h15, le 29 juillet à 8h30, le 31 juillet à 9h30, le 1er août à 10h15, le 4 août à 12h30, le 6 août à 15h, le 7 août à 16h15, le 12 août à 8h15, le 13 août à 9h, le 14 août à 9h30, le 18 août à 13h, le 21 août à 17h, le 27 août à 8h15, le 28 août à 8h45, le 29 août à 9h30, le 3 septembre à 13h15, le 4 septembre à 15h30, le 11 septembre à 8h15 et le 12 septembre à 9h15.