vendredi 29 novembre 2013

Nouvel éclairage de la grand-place de Bruxelles

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mardi 26 novembre 2013

Huit traditions belges à l'Unesco

Depuis 2008, huit traditions belges ont été inscrites sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité de l'Unesco :

1° Le carnaval de Binche : chaque année, pendant les trois jours qui précèdent le Carême, Binche attire des foules de visiteurs étrangers. Remontant au Moyen Age, le carnaval est l'une des plus anciennes manifestations de ce type d'Europe.

2° Les géants et dragons processionnels :  le cortège de Saint-Georges contre le Dragon à Mons, le cheval Bayard issu du cycle de Charlemagne qui défile à Dendermonde, la ducasse d'Ath, les géants de Bruxelles et Mechelen sont protégés.

3° La procession du Saint-Sang de Bruges :  le jour de l'Ascension, plus de 30.000 personnes se pressent à Bruges pour un rite remontant au XIIIème siècle et qui fait revivre des scènes de l'Ancien Testament, de la vie de Jésus et de l'histoire de Bruges.

4° Les Krakelingen et le Tonnekensbrand à Grammont :  la ville de Grammont (Geraardsbergen en néerlandais) organise sa foire annuelle le premier lundi de mars et célèbre la fin de l'hiver le dimanche huit jours plus tôt, avec cette fête du feu et du pain de la fin de l'hiver.

5° Houtem Jaarmarkt, la foire d'Hautem-Saint-Liévin : chaque année, les 11 et 12 novembre, ce village de Flandre orientale devient le lieu du dernier grand marché de plein air du pays où se pratique le commerce du bétail et des chevaux pur sang.

6° Le carnaval d'Alost : les festivités, vieilles de 600 ans, sont marquées par la proclamation symbolique du prince du carnaval comme bourgmestre de la ville d'Alost. Il se voit remettre la clé au cours d'une cérémonie destinée à tourner en ridicule les hommes politiques de la ville, le dimanche qui précède le Carême catholique.

7° Le répertoire du rituel des classes d'âge de Louvain :  rite de passage réservé aux habitants de Louvain entre 40 et 50 ans, il abolit les différences d'origine, de rang ou de statut social.

8° Les marches de l'Entre-Sambre-et-Meuse :  elles commémorent la dédicace des églises de nombreux villages et petites villes qui honorent le Saint à qui sont dédiés les édifices religieux. Les habitants des villages et villes y participent, revêtus d'uniformes militaires.

samedi 23 novembre 2013

Interview du Grand Jojo / Lange Jojo

                                                  
En tournée actuellement, le Grand Jojo (Lange Jojo en néerlandais) a répondu aux questions du magazine "TV News" :

"Depuis un an, vous faites un retour en force. Une explication?
- Je ne me l'explique pas. Je vis sur un nuage, je rêve. J'étais scié de voir le Cirque Royal très vite sold out. C'était historique. En fait, je m'étais retiré de toute cette mécanique, vivant de ma retraite, à l'aise. Et subitement, ma firme de disques est venue rechercher le vieux crocodile. Il est sorti de sa cage. Faites gaffe, il va mordre! J'étais un peu flatté : Universal a tout de même la crème des stars. Quand je rentre dans le hall et que je vois ma photo à côté des Stones et de Madonna, je suis paf!

- Qu'est-ce que çà leur fait à eux d'être à côté du Grand Jojo?
- Sans blague, je suis très fier. Je n'étais pas tombé dans l'oubli car on passait mes chansons dans toutes les fêtes, les communions, les mariages, les banquets de fin d'études. Mais je ne montais plus sur scène. Et boum, disque d'or avec mon best of! Et me revoilà face au public, trois générations, 50 ans que je dure! J'ai toujours été très ouvert. Quand les jeunes viennent me dire "Grand Jojo, vous avez bercé toute mon enfance", çà fait plaisir.

- Quel est votre truc?
- A mon avis, offrir une musique populaire mais avec des musiciens de qualité qui sont des show-men, plus mes deux choristes que j'appelle les allumettes parce qu'elles mettent le feu partout où elles passent. Mon équipe apporte la joie, la bonne humeur aux gens, et on en a besoin à notre époque. Les gens ont besoin de se défouler. C'est un grand bonheur pour moi de leur apporter cette joie. C'est ma plus belle récompense, plus que la réussite, car ce n'est plus à 77 ans qu'on cherche à s'enrichir. Mon but est de m'amuser. C'est plus que des vitamines : je retrouve une deuxième jeunesse. En fait, avant, j'étais vintage ou ringard, et maintenant, je suis redevenu à la mode. J'ai 100.000 vues sur le net, tout a changé, c'est formidable, et j'espère encore tenir avant d'entrer au musée de cire du Cinquantenaire comme le "dernier dinosaure de la chanson belge"!

- Vous considérez-vous comme un showman?
- Absolument! Mon show sur scène, c'est de la dynamite! Les gens voient bien qu'on est là pour chauffer l'ambiance. Certains disent "A son âge, ce n'est pas possible, il se shoote", mais je n'ai jamais rien pris. Je mène une vie saine, je me couche et je me lève tôt, je ne fume pas et j'ai la chance d'avoir une bonne santé.

- Vous avez toujours revendiqué votre belgitude, avec l'accent et vos textes en deux langues. Une bonne carte?
- On me voit comme une "îcône belge" entre guillemets. Mes origines me renvoient aux Marolles. J'ai même une fresque rue des Chandeliers faite par des enfants. J'ai été élevé par mes grands-parents. Mon grand-père était un ancien combattant de 14-18, ayant fait les tranchées de l'Yser. Il s'est battu pour la patrie, il était invalide de guerre et il m'a toujours inculqué l'amour du pays. En 1940, ma famille faisait partie d'un réseau de résistants au départ de Koekelberg qui faisait passer des parachutistes anglais et américains. Elle courait de gros risques. Je me souviens des messages codés, du genre "Les carottes sont cuites". Le réseau s'appelait "Slash", pantoufle quoi. Ma tante et mon cousin étaient actifs. Quand je vois tous ces sacrifices, je ne voudrais pas que tout cela n'ait servi à rien. Car mon pays, c'est ce qui me tient le plus à cœur. Ce pays est merveilleux et il y fait bon vivre, avec une mentalité extraordinaire. Les Belges sont aimés dans le monde. Je mets des drapeaux belges partout, sur scène. Au Bal National des Marolles, je suis arrivé escorté par deux motards, j'étais là avec le drapeau noir-jaune-rouge et c'était pour moi un très grand moment.

- Les volontés séparatistes, çà la fout mal?
- Ca me met en colère. J'espère que çà n'arrivera jamais. Que va-t-il se passer après les élections de 2014? Je compte sur notre équipe nationale et sur ses résultats pour contrer ces disputes. Cela dit, quand on sonde l'opinion, peu de gens veulent se séparer. Restons unis! Le nouveau couple royal est très représentatif, c'est une chance. Certains veulent une république ; quelle erreur!

- Vous étiez au Mexique en 1986. Irez-vous au Brésil avec nos Diables Rouges en 2014?
- Je ne crois pas car l'engouement sera tellement fort ici que ma place est en Belgique pour une super-fête. Ce sera comme dans mon nouvel album, no limit, juste pour rigoler. J'y ai concoté quelques chansons pour monter sur les tables, le "Yo du Robinet" en drag-queen avec Jean-Luc Fonck ou "Happy Bière Day" au goût de la fanfare. Mais bien sûr, ce sera difficile de détrôner "Chef, un p'tit verre, on a soif". Vous savez, à 16 ans, j'étais existentialiste à Bruxelles. Je côtoyais Brel et Barbara, alors inconnus, Georges Moustaki pianiste de bar à la Petite Rue des Bouchers avec qui j'allais manger un spaghetti à 15 francs. On n'avait pas de blé. Nos modèles étaient Sartre et Beauvoir, tout à fait opposés à ce que je fais aujourd'hui. J'étais peintre décorateur, dans la BD, spécialiste du jazz, et je suis entré dans une boîte de disques où tout a démarré, tout en restant fonctionnaire. C'est dire si le Grand Jojo a plusieurs facettes..."

mercredi 20 novembre 2013

La ville de Bruges

Surnommée la "Venise du Nord", Bruges est le chef-lieu de la province de Flandre occidentale et se situe non loin de la côte belge. Elle est réputée pour ses canaux, son beffroi, ses calèches, la dentelle, le Collège d'Europe, l'église Notre-Dame (où reposent Charles le Téméraire et Marie de Bourgogne), son béguinage et son festival de sculptures de glace. Bruges a été capitale culturelle européenne en 2002 et son centre historique a été inscrit au patrimoine de l'Unesco.

Partons en promenade à Bruges avec notre amie Mimi du Sud :

1ère partie : http://mimidusud.skynetblogs.be/archive/2013/10/31/bruges-et-ses-canaux-belgique-7973280.html
2ème partie :  http://mimidusud.skynetblogs.be/archive/2013/11/04/bruges-canaux-et-caleches-2eme-partie-7976796.html
3ème partie :  http://mimidusud.skynetblogs.be/archive/2013/11/08/bruges-la-dentelle-3eme-partie-7980372.html
4ème partie : http://mimidusud.skynetblogs.be/archive/2013/11/14/bruges-et-ses-boutiques-kathe-wohlfahrt-7986777.html
5ème partie :  http://mimidusud.skynetblogs.be/archive/2013/11/19/bruges-et-son-chocolat-vacances-d-aout-2013-7991473.html

Quant aux sculptures de glace, nous pouvons les découvrir grâce à notre ami PhilippeD :
http://philippedester.canalblog.com/archives/2009/12/09/index.html

samedi 16 novembre 2013

Nouvelle coiffure de la reine Paola

Ce vendredi 15 novembre, c'était la première Fête du Roi du nouveau règne. Comme le veut la tradition, le couple royal régnant n'y assiste pas, mais d'autres membres de la famille royale assistent à un Te Deum à Bruxelles en matinée et à une réception au Parlement l'après-midi. Au palais royal, il y a aussi une relève de la garde plus solennelle que d'habitude en présence du ministre de la Défense. L'image du jour a été incontestablement la nouvelle coiffure de la reine Paola qui n'est pas passée inaperçue. Alors, qu'est-ce que vous en pensez?
                                                 Comment trouvez-vous le nouveau look de la Reine Paola ?

Petit rappel historique :  la fête du Roi a été instaurée en 1866 et a lieu le 15 novembre, jour de la fête de Léopold (dans le calendrier germanique) et d'Albert (dans le calendrier général). Certains l'appelent parfois "fête de la Dynastie" mais ce terme n'a été utilisé officiellement que sous la Régence de 1944 à 1950 afin de fêter à la fois le roi Léopold III et le prince-régent Charles. Même si leur fête n'a pas lieu le 15 novembre, les rois Baudouin et Philippe n'ont pas voulu changer cette tradition sous leur règne.

jeudi 14 novembre 2013

Actualité littéraire de notre amie Carine-Laure Desguin

Carine-Laure Desguin est une fidèle du Journal d'un Petit Belge depuis plusieurs années. Mais c'est aussi une auteur dont j'ai dressé le portrait dans cet article :  http://ecrivainsbelges.blogspot.be/2013/06/actualite-de-carine-laure-desguin.html . Elle sera en séance de dédicaces ce samedi 16 novembre 2013 au salon Tournai-La Page (Grand-Place de Tournai) de 14h à 18h. Par ailleurs, Carine-Laure a participé au concours annuel de nouvelles du Club Richelieu Simenon de Liège sur le thème des jardins. Sa nouvelle "Funestes jardins" a été primée et fait partie des textes repris dans un recueil collectif (15 euros).

mardi 12 novembre 2013

Réouverture du Stekerlapatte

Si vous souhaitez manger de la cuisine typiquement belge lors de votre passage à Bruxelles, rendez-vous dans le quartier des Marolles au pied du palais de justice (4, rue des Prêtres pour être exact). Après trois années de travaux, le "Stekerlapatte" vient de rouvrir. Cette brasserie bruxelloise connue pour ses grandes banquettes de bois a été ouverte en 1979 par Jeannine Van Den Hende et Daniel Van Avermaert. Elle a accueilli quelques stars comme Philippe Noiret, Jeanne Moreau et Ringo Starr.


                                           

vendredi 8 novembre 2013

"Marina", nouveau film du réalisateur Stijn Coninx, produit par les frères Dardenne

Né en 1957, Stijn Coninx est un réalisateur belge, connu principalement pour ses films "Daens" et "Sœur Sourire". Il est également vice-président de la Cinémathèque Royale de Belgique. Son dernier film vient de sortir :  "Marina", produit par les frères Dardenne (à nouveau un beau projet culturel belge qui dépasse la frontière linguistique). Il raconte l'immigration et l'intégration italiennes en Belgique à la fin des années 40, sur base des souvenirs d'enfance de Rocco Granata, chanteur italo-belge devenu célèbre dans le monde entier il y a 50 ans avec son tube "Marina" (d'où le titre du film).

Stijn Coninx s'est confié à la presse :
"Dans Marina, vous n'avez pas peur de montrer une mauvaise image de la Belgique?
- Evidemment. Il y a un passé que l'on a oublié. Il faut être réaliste sur l'immigration de notre pays : à cette époque-là, il y avait un contrat entre deux gouvernements pour avoir 50.000 Italiens qui venaient travailler dans les mines. C'est comme tout dans la vie ; il n'y a rien de noir, ni de blanc. C'était absolument nécessaire de raconter cette histoire.

- Le racisme existait aussi en Belgique au sortir de la deuxième guerre mondiale?
- Le racisme a toujours existé et il existera toujours. Partout et sous différentes formes. Mais aujourd'hui, grâce à ce qu'ils ont enduré il y a 60 ans, les Italiens ne sont plus considérés comme étrangers chez nous mais bien comme Belges. Ce qui n'est pas encore le cas des Turcs et des Marocains. Pourtant, l'histoire est similaire. Plein de familles le vivent dans le monde entier.

- A une autre échelle, le film évoque du coup nos problèmes communautaires actuels?
- Tout vient d'un problème de communication avec la langue. Dès qu'on se comprend, la vie est plus facile. Ce qui est bizarre, c'est qu'on est fasciné par les cultures étrangères quand on voyage mais dès qu'on les croise chez nous, on a oublié cet intérêt. C'est tellement absurde.

- Votre film fait aussi fort penser à l'histoire du chanteur Salvatore Adamo et de notre premier ministre Elio Di Rupo?
- L'imprésario qui a raté le succès de "Marina" a cherché un fils de mineur italien du côté francophone avec la même voix cassée. Et Adamo, que son père soutenait, lui, est né de cette façon. Il n'était pas du tout connu et c'est grâce au succès de "Marina" qu'il l'est devenu. Quant à l'histoire de notre premier ministre, elle est même encore plus dramatique que celle de Rocco. Il était le plus jeune de sept enfants mais né en Belgique. A la mort de son père dans un accident, Di Rupo a été placé dans un orphelinat. Une enfance difficile qui l'a amené à travailler comme un fou. Un bel exemple d'histoire positive d'intégration et qui dépasse les frontières belges. Elio Di Rupo en personne a avoué s'être reconnu dans "Marina"".

Pour découvrir la bande-annonce du film et encore d'autres infos :  www.marinafilm.be/fr/home

mardi 5 novembre 2013

Rénovation du Musée d'Histoire Naturelle de Mons

Le Musée d'Histoire Naturelle de Mons existe depuis 170 ans, mais semblait oublié de tous, n'attirant plus qu'un millier de visiteurs par an. Dans le cadre de Mons, capitale culturelle européenne en 2015, il vient d'être rénové, comme l'a expliqué son jeune conservateur Bertrand Pasture à la presse :

"La fin des travaux marque le point de départ du renouveau du Musée d'Histoire Naturelle de Mons. Le plus gros du travail était sans aucun doute la verrière installée à la place du plafond. Avant l'installation de celle-ci, le bâtiment paraissait sombre, fermé et poussiéreux. Cette ouverture sur le ciel donne un autre cachet au bâtiment. A côté de cela, nous avons rafraîchi les murs en leur donnant un coup de pinceau, refait le sol, arrangé les sanitaires, etc. D'un point de vue exposition, nous allons commencer tout doucement à éliminer les différentes vitrines pour les remplacer par des espaces plus ouverts. Nous voulons faire quelque chose de plus fonctionnel et de plus esthétique, du style grand musée naturel américain. Les plans sont quasiment finis et nous allons bientôt débuter la réorganisation des collections. Le squelette du géant Constantin, par exemple (un homme de 2,56 mètres décédé à Mons en 1902), va être mieux mis en valeur dans un nouvel écrin. Nous avons commencé ces activités en septembre ; nous avons investi dans du matériel comme des vitrines pédagogiques, des binoculaires. Une application pour smartphone et tablette a vu le jour dans le musée. Les visiteurs peuvent scanner des codes pour 15 animaux différents du musée et ainsi les voir en 3 dimensions sur leur écran.

Il y a 10 ans, quand je suis arrivé à la tête du musée, nous étions à peine à 1.500 visiteurs par an. A plusieurs reprises, une fermeture du musée avait même été envisagée. Ce n'est bien sûr plus d'actualité maintenant. Le musée est bel et bien dans une nouvelle dynamique. En 2012, nous avons eu 8.500 visites. L'objectif en 2013 ou 2014 est d'arriver à 10.000. Pour le moment, le compteur affiche 6.000 entrées. Nous avons pas mal d'expos en cours de préparation. Dans la lignée pédagogique, trois ruches vont être installées en mars 2014. Deux seront mises en extérieur sur des passerelles et une sera vitrée à l'intérieur du bâtiment. Ce sera assez inédit dans la région. Autre projet : la mise en place d'une collection de fœtus mal formés sera mise dans une vitrine réservée aux adultes. Il y aura des spécimens assez rares comme un fœtus cyclope par exemple. Pour Mons 2015, une grosse exposition est aussi en cours d'élaboration : elle concernera les grandes découvertes liées à notre région. On retrouvera des panneaux sur la géologie, l'iguanodon ou encore le site de Spiennes".

Entrée gratuite...mais fermé les week-ends et jours fériés. Infos pratiques :  www.environnement.wallonie.be/museum-mons

dimanche 3 novembre 2013

Le Monsieur Météo de VTM et de RTL-TVI

Né en 1970 à Bruges, David Dehenauw  a effectué des études d'ingénieur à la VUB. Il entre ensuite à l'Institut Royal de Météorologie où, petit à petit, il devient chef de la section maritime et a été le conseiller de Steve Fosset, Richard Branson et Bertrand Piccard dans leurs périples. Il est également professeur à l'Université de Gand et présentateur de la météo sur VTM (chaîne de télévision belge néerlandophone privée). Suite au départ de Luc Trullemans, RTL-TVI (chaîne de télévision belge francophone privée) lui a proposé de reprendre son poste de "Monsieur Météo". C'est la première fois qu'un météorologue belge présentera la météo en néerlandais au nord du pays et en français au sud du pays.                 

David Dehenauw a commenté :   "J'étais surpris lorsque RTL-TVI m'a contacté, mais aussi flatté qu'on ait pensé à moi. C'est un challenge, d'autant que le français n'est pas ma langue maternelle. Mais je suis décidé à m'y mettre à fond. Je continuerai à présenter la météo sur VTM et je ne pense pas changer mon style. Et puis, je me sens à l'aise puisque je travaille avec Sabrina Jacobs que je connais depuis plus de 15 ans. Le seul détail que je dois changer, c'est ma punchline. A la fin de chaque météo, je dis "Daag". Le public y est très attaché. Quand on m'a demandé autre chose, j'ai reçu des lettres de plainte de la part des téléspectateurs! Mais, en français, il faudra trouver autre chose".